Une soirée concerts concoctée par l’équipe du festival P.U.F. pour partir à la découverte de ce petit instrument qu’est le Ukulélé, adopté par divers courants musicaux (chanson populaire, jazz, folk…) pour sa polyvalence, son charme exotique et sa dimension… humoristique !
Les Poupées Gonflées : trois filles, trois voix, trois tempéraments… Avec leur énergie communicative et leur complicité jubilatoire, ces trois drôles de dames s’amusent à créer un univers sonore inédit, coloré et ludique, où l’harmonie vocale a la part belle. Les Poupées  Gonflées domptent  aussi fort bien  la langue  française… la manient  avec délice  et impertinence dans leurs chansons pétillantes aux textes ciselés, ouvertement féminines, volontiers ironiques ou  tendrement  poétiques (signés Valérie Lemerre Charlot).  Pour elles, aucun tabou musical, avec leurs instruments (ukulélé, Ubass, guitare, concertina, accordéon, percussions improbables…) et leurs cordes vocales, elles se frottent aussi bien à Django Reinhardt qu’au tango ou au french cancan, dans une polyphonie proprement funambulesque !
Amélia Coburn. Avec une voix éblouissante et un don d’interprétation sans pareil, Amelia Coburn passe chaque moment disponible à fouiller dans les disques de son père et d’autres et à passer ses trouvailles par le filtre de son ukulélé punky pour émerveiller les auditoires à travers le Nord-Est de l’Angleterre initialement mais de plus en plus au-delà. Classer ce qu’elle joue serait vain mais ses principales influences vont du pop / rock classique et sophistiqué (David Bowie, Kate Bush au début d’Elton John) au Punk, à la New Wave et à la première vague de musique indépendante (The Smiths, The clash, The Jam, Blondie).

Une programmation “Little” Poitou Ukulélé Festival en partenariat avec l’EMIL (Ecole intercommuale de musique).

Durée 1h45 avec entracte.